La sécurité
Le péril de d'incendie n'est pas moins à redouter. Les pouvoirs publics veillent à l'entretien des cheminées avec d'autant plus de sévérité, que les moyens d'action conte le feu restent insuffisants. Jusqu'au 18e siècle ce sont les couvreurs qui se chargent du services des incendies.
Un véritable corps de pompiers n'est organisé qu'à partir de 1737, et d'ailleurs le manque d'eau paralyse son action dans les rues un peu éloignées de la Nièvre et de la Loire, car la ville ne dispose à cette époque que de 15 puits publics et de 2 fontaines.
Toutefois, si les incendies sont fréquents aux 17e et 18e siècles, ils ne ravagent plus des rues entières comme en 1484.
Quand la sécurité est à peine assurée, comment serait-il possible de se préoccuper des questions de confort et d'hygiène ?