« La Charité-sur-Loire Montée Saint-Jacques » : différence entre les versions
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Dans la maison portant le n° 4, face à la Trésorerie (cette rue a la particularité d'avoir deux n° 2 et deux n° 4), furent logées, en 1919, les premières religieuses du Bon Secours <ref>Cette congrégation religieuse féminine enseignante et hospitalière réunit des jeunes filles qui soignent les malades à domicile, quelle que soit leur situation sociale, et les accompagnent plus particulièrement dans leurs derniers moments. (Wikipedia)</ref>. La Trésorerie était, avant 1953, l'ancienne école communale pour filles, construite au 19<sup>ème</sup> siècle. | |||
Cette rue s'est appelée « La rue montant à Saint-Jacques » car elle aboutissait à l'[[La Charité Saint Jacques|église Saint-Jacques]], paroisse créée au XIII<sup>e</sup> siècle. L'église a été vendue, puis démolie pendant la Révolution. | |||
Qui habitait ici en 1911 ? : [http://archives.cg58.fr/ark:/60877/a011335859815jD5gc3/1/59 voir le recensement des AD 58 ] | Qui habitait ici en 1911 ? : [http://archives.cg58.fr/ark:/60877/a011335859815jD5gc3/1/59 voir le recensement des AD 58 ] | ||
*Source : Les Annales des Pays Nivernais n° 81 | *Source : Les Annales des Pays Nivernais n° 81 | ||
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Version actuelle datée du 14 avril 2021 à 13:23
C'est une petite rue, trait d'union entre les rues Sainte-Anne et Saint-Jacques, à flanc de coteau dans la partie médiane de la vieille cité.
Dans la maison portant le n° 4, face à la Trésorerie (cette rue a la particularité d'avoir deux n° 2 et deux n° 4), furent logées, en 1919, les premières religieuses du Bon Secours [1]. La Trésorerie était, avant 1953, l'ancienne école communale pour filles, construite au 19ème siècle.
Cette rue s'est appelée « La rue montant à Saint-Jacques » car elle aboutissait à l'église Saint-Jacques, paroisse créée au XIIIe siècle. L'église a été vendue, puis démolie pendant la Révolution.
Qui habitait ici en 1911 ? : voir le recensement des AD 58
- Source : Les Annales des Pays Nivernais n° 81
- ↑ Cette congrégation religieuse féminine enseignante et hospitalière réunit des jeunes filles qui soignent les malades à domicile, quelle que soit leur situation sociale, et les accompagnent plus particulièrement dans leurs derniers moments. (Wikipedia)
