|
|
Ligne 1 : |
Ligne 1 : |
|
| |
|
|
| |
|
| |
|
| |
|
| |
|
| |
|
| |
| ===La Medecine populaire traditionnelle===
| |
|
| |
|
| |
| Cette médecine, pratiquée encore au 19ème siècle et début 20ème, à une époque où les visites du médecin étaient considérées comme un luxe coûteux, a maintenant presque disparu. Il en subsiste néanmoins de nombreuses expressions profondément enracinées dans le langage qui fournit les expressions les plus sincères et les plus imagées.<br>
| |
| La médecine populaire respectait les croyances, les remèdes et pratiques des chirurgiens des villages (au moyen-âge : chirurgien-barbier), ancêtres de nos médecins, et dont les ''regogneux'' morvandiaux semblaient bien être les dignes successeurs.<br>
| |
| Quelles étaient donc, dans nos campagnes, au 19ème siècle, les connaissances en anatomie ? La connaissance de la configuration et du rapport de nos organes ne pouvant reposer pour nos pères que sur leur assimilation avec ceux des animaux domestiques, du cochon en particulier, qui a la désobligeance réputation d'être très voisin de nous par ses viscères.<br>
| |
|
| |
| Pour nos paysans, le corps était composé de la peau, des os, de la "tripaille" ; les muscles, qui représentent en poids la moitié de l'organisme, n'étaient, pour eux, que " viande ".
| |