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__NOTOC__
 
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===Louis de Gonzague, duc de Nevers===
Ludovico Gonzaga, en italien. Né à Mantoue le 18 septembre 1539 mort à Nesle dans la Somme le 23 octobre 1595.<br>
Il est le troisième fils de Frédéric de Mantoue et de Marguerite Péléologue.
[[Image:de Gonzague Louis et de Clèves Henriette.jpg|thumb|150px|<center>Louis et Henriette</center>]]
Son amour pour les armes s'était manifesté de bonne heure et il décida que ce serait par ce moyen qu'il chercherait son illustration. Il n'avait que dix ans lorsqu'il fut accueilli par Henri II qui le fit élever avec ses enfants. Le roi fit naturalisé le jeune prince en 1550 ce qui lui permet de recueillir la succession d'Anne d'Alençon, son aïeule maternelle.
 
Marié à [[Henriette de Clèves]], duchesse de [[Nevers]] en 1565.<br>
En prenant le titre de duc de [[Nevers]], il devint le plus riche propriétaire de France. Sa femme lui apporta les duchés de [[Nevers]] et de Réthelois, les baronnies de [[Donzy]], les terres d'Orval en Bourbonnais, de Châteaummeillant en Berry, plusieurs souverainetés au-delà de la Meuse, de riches domaines en Picardie et en Artois. Le roi, reconnaissant, le nomma duc de Mantoue et lieutenant-général de toutes les possessions françaises au-delà des Monts.
 
''A compléter''
 
*Source : Etude historique, Louis de Gonzague, Duc de Nevers par M. Ch. Duvernet 1870<br>
*Transcripteur :[[Utilisateur:Mabalivet|Mabalivet]] ([[Discussion utilisateur:Mabalivet|discussion]]) 19 mars 2019 à 11:47 (CET)
 
===Henriette de Clèves, duchesse de Nevers===
[[Image:de Clèves Henriette.jpg|thumb|100px|<center>Henriette de Clèves</center>]]
Fille de François 1er de Clèves, duc de [[Nevers]] 1516 - 1561 et de Marguerite de Vendôme 1516 - 1589.<br>
Mariée le 4 mars 1565 au Duc de Nevers.
 
Née le 31 octobre 1542 La Chapelle-d'Anguillon dans le Cher<br>
Décédée le 24 juin 1601 à Paris, en son hôtel. Enterrée à [[Nevers]].
 
*Source : BnF<br>
*Transcripteur :[[Utilisateur:Mabalivet|Mabalivet]] ([[Discussion utilisateur:Mabalivet|discussion]]) 19 mars 2019 à 12:48 (CET)
 
===Crime ou enlèvement à Villapourçon - 1923===
Il n'est que bruit dans tout le Morvan de la disparition d'une jeune enfant de trois ans, le petite JEANNE MARCEAU, demeurant chez chez parents au hameau des Marceaux, commune de [[Villapourçon]].
 
Voici comment les faits se sont produits :
 
M. Marceau, âgé d'une trentaine d'années, demeurant au hameau des Vaillants, commune de [[Glux en Glenne]] changeait de domicile samedi dernier et allait habiter le hameau des Marceaux, coquet petit village d'une centaine d'habitants, flanqué sur le versant de La Gravelle qui regarde [[Villapourçon]].<br>
Mme Marceau était occupée, vers onze heurs du matin à mettre un peu d'ordre dans sa nouvelle demeure et préparait aussi le déjeuner pour son mari et le domestique qui amenaient sur des chariots leur mobilier.
 
La petite Jeanne était un peu dépaysée dans les nouveaux locaux qu'elle n'avait jamais vus, aussi sa mère, la laissa sortir un instant dehors dans la cour pour s'amuser, sans toutefois la perdre de vue. Il s'était à peine écoulé un quart d'heure depuis la sortie de l'enfant que la mère s'enquit de ce qu'elle devenait. Mme Marceau sortit dans l cour, appela la fillette, mais celle-ci ne répondit pas. Elle sera, sans doute, chez une voisine, se dit-elle et elle alla frapper aux portes des maisons d'à côté. Mais, pour toutes réponses, on lui répondit que l'on n'avait pas vu l'enfant.
Affolée, Mme Marceau courut de tous côtés, fouilla les dépendances de la maison, les jardins et les environs du village et appela la petite mais rien ne lui répondit.<br>
Peu après, M. Marceau arriva avec son domestique ; sa femme, en quelques mots le mit au courant de ce qui venait d'arriver. Avant de manger quoi que ce soit, le père de l'enfant se mit à la recherche de sa fillette. En compagnie de plusieurs hommes, on battit la campagne, on fouilla les coins et recoins mais toutes leurs recherches restèrent sans résultat.
 
Comme il avait plu et que la boue des chemins était assez molle, on releva la trace de pas de l'enfant qui était chaussé de sabots. On suivit ces pas pendant une cinquantaine de mètres le long d'un chemin et, subitement les traces se perdirent. A l'endroit où l'on releva la dernière empreinte des petis sabots, on ne trouva aucune trace de pas d'homme ni d'animal quelconque. l'enfant avait disparu mystérieusement enlevée par une force aérienne.
 
Pendant toute la journée de dimanche, de concert avec les gendarmes de [[Villapourçon]], tous les hommes des hameaux environnant organisèrent des battues dans les bois alentour ; mais toutes ces recherches n'aboutirent à rien. Que s'était-il passé, nul ne le sait. Les jours ont succédé aux nuits et les nuits aux jours et pas le plus petit indice n'est venu jeter la lumière sur la disparition de cette enfant.
 
Jeudi, nous nous sommes entretenu de cette disparition avec M. Marceau, père de la fillette. Le malheureux est dns un état d'affaiblissement moral et physique qui fait peine à voir. quant à ,la mère, elle ne vit plus depuis ce jour malheureux où la gaieté est partie de ce foyer, pour peut-être ne plus revenir.
 
Une plainte a été déposée au Parquet de [[Château Chinon]] qui, nous l'espérons, déploiera tous les moyens pour retrouver l'enfant morte ou vivante.
 
=====Le crime=====
''La petite Jeanne Marceau a été étranglée après avoir subi les derniers outrages. L'assassin arrêté, avoue avoir brûlé le petit cadavre dans sa marmite à cochons pour le faire disparaître.''
 
Dans le courant de l'année, les époux Marceau, cultivateurs au hameau des Vaillants, commune de [[Glux en Glenne]], affermaient une maison avec quelques dépendances, aux Marceaux. Cette maison avait été affermée par Mme Joyeux dont le premier mari, M. Jean Laudet, frère de l'assassin, avait été tué à la guerre. Dans le partge, la maison avait été  attribuée à Mme Joyeux.
 
Son ex beau-frère, François Laudet, âgé de 50 ans, qui espérait que la maison lui reviendrait en conçut un vif dépit et plus d'une fois, il se serait laissé aller à des menaces. D'un caractère violent, sournois, d'une avarice sordide, il était redouté dans le pays.
 
=====L'arrivée de la brigade mobile=====
Le Parquet saisi de l'affaire faisait appel à la brigade mobile d'Orléans et samedi matin, M. Mutel, commissaire spécial, assisté de M. Nocquet, inspecteur, se rendaient à [[Villapourçon]] et commençaient leur enquête. les parents furent longuement entendus, on perquisitionna chez eux. les époux Marceau, arrivés depuis trois jours, déclarèrent qu'ils ne se connaissaient pas d'ennemis. Le crime par vengeance devait être écarté..
 
=====Les enfants Laudet parlent=====
M; Mutel apprenait que François Laudet nourrissait une haine féroce contre son ex belle-soeur, qui, disait-il, l'avait dépouillé de la maison paternelle. Il se rendit au domicile de Laudet. A vingt mètres de son habitation, il trouva le petit Louis Laudet, âgé de quatre ans jouant avec son frère Maurice, âgé de neuf ans.
Le commissaire parla au plus jeune, lui offrit des bonbons en lui demandant sur un ton paternel, s'il ne saurait pas ce qu'était devenue la petite Marceau. " Mouai, y s'sait ran, y n'é ran vu" répondit l'enfant en cherchant à se dissimuler. Le commissaire, certain qu'il tenait la bonne piste, insista, l'enfant répéta la même phrase comme une leçon apprise. L'aîné, Maurice, prit part et savamment cuisiné, répondit enfin " Y vas bin vous y dire mais preumettez mouai que mon pa n'iré pas en priyong ". Le commissaire promit et Maurice parla.
 
Il raconta dans le patois du pays que le 17 novembre, la petite Marceau était entrée chez eux en mangeant son pain ; son pa, en apprenant que c'était la fille des gens qui " étint dans la mayong de son grand pé " l'avait prise et l'avait étranglée en la serrant contre le lit.
 
Le commissaire entra aussitôt chez Laudet, et sans plus d'explications, il l'invita à l'accompagner à ,la gendarmerie de [[Villapourçon]] pour donner quelques renseignements. Interrogé aussitôt sur les propos tenus par ses enfants, il nia avec énergie.<br>
Pendant qu'on le gardait à vue à la chambre de la caserne, les agents remontèrent aux Marceaux et interrogèrent Mme Laudet qui nia avec autant d'énergie que son mari.
 
=====Madame Laudet fait le récit du crime=====

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