« Nevers rue du Portugal » : différence entre les versions
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« C’est l’ancien chemin rural 34, reconnu le 30 JHIII 1886, partant de la [[Nevers rue des Tailles| rue des Tailles]] pour aboutir au chemin rural n° 35 ([[Nevers impasse de Parigny|impasse de Parigny]]) » nous dit [[Personnages Gueneau (Famille)|Victor GUENEAU]] dans Mémoires de la Société académique du Nivernais – 1927/T29. | |||
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Et il nous raconte la bien curieuse, et peu édifiante histoire de ce moignon de rue. | |||
« Le 18 novembre 1905 le Conseil municipal reconnaît que ce chemin, qui doit avoir 900 mètres de longueur n’a plus que ses deux extrémités (sic !) et que le surplus, soit à peu près 400 mètres, a été usurpé par les riverains. Il décide de poursuivre les accapareurs. Aucune suite ne fut d’ailleurs donnée à l’affaire, et le chemin est toujours dans le même état ». | |||
Cependant le chemin est devenu rue, une rue gentiment peuplée de pavillons, derrière lesquels ne se pointent ni bandits ni escopettes. Mais où sont les « deux bouts » de la rue ? | |||
L’un d’eux, en 1936, passant derrière l’actuel [[lycée Jules Renard]] aurait atteint alors la rue de Barcelone pour la désenclaver. | |||
*Source : Nevers pas à pas, François Lechat. | |||
*[[Utilisateur:Praynal|Praynal]] ([[Discussion utilisateur:Praynal|discussion]]) 24 avril 2021 à 09:37 (CEST) | |||
[[Catégorie : Noms des rues]] | |||
[[Catégorie : Mairies]] |
Version du 24 avril 2021 à 09:37
Cette rue se trouve entre la rue des Tailles et le boulevard Saint Exupéry.
« C’est l’ancien chemin rural 34, reconnu le 30 JHIII 1886, partant de la rue des Tailles pour aboutir au chemin rural n° 35 (impasse de Parigny) » nous dit Victor GUENEAU dans Mémoires de la Société académique du Nivernais – 1927/T29.
Et il nous raconte la bien curieuse, et peu édifiante histoire de ce moignon de rue.
« Le 18 novembre 1905 le Conseil municipal reconnaît que ce chemin, qui doit avoir 900 mètres de longueur n’a plus que ses deux extrémités (sic !) et que le surplus, soit à peu près 400 mètres, a été usurpé par les riverains. Il décide de poursuivre les accapareurs. Aucune suite ne fut d’ailleurs donnée à l’affaire, et le chemin est toujours dans le même état ».
Cependant le chemin est devenu rue, une rue gentiment peuplée de pavillons, derrière lesquels ne se pointent ni bandits ni escopettes. Mais où sont les « deux bouts » de la rue ?
L’un d’eux, en 1936, passant derrière l’actuel lycée Jules Renard aurait atteint alors la rue de Barcelone pour la désenclaver.
- Source : Nevers pas à pas, François Lechat.
- Praynal (discussion) 24 avril 2021 à 09:37 (CEST)