« Cosne sur Loire » : différence entre les versions

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*Un infanticide a été commis par une. femme de chambre à l'hôtel du Grand-Cerf. Cette femme a séparé la tête de son nouveau-né et l'a jetée dans les lieux en attendant de se débarrasser du corps. C'est là qu'une autre femme a découvert par hasard la tête, à son grand effroi.<br>
*Un infanticide a été commis par une. femme de chambre à l'hôtel du Grand-Cerf. Cette femme a séparé la tête de son nouveau-né et l'a jetée dans les lieux en attendant de se débarrasser du corps. C'est là qu'une autre femme a découvert par hasard la tête, à son grand effroi.<br>
La femme de chambre a été provisoirement conduite à l'hôpital, pour y recevoir des soins. Les médecins ont reconnu que l'enfant était né viable.<br>
La femme de chambre a été provisoirement conduite à l'hôpital, pour y recevoir des soins. Les médecins ont reconnu que l'enfant était né viable.<br>
(''Le Petit Journal du 16/09/1872'')
(''Le Petit Journal du 16/09/1872'')<br><br>
*M. Comte de Dreuil de Donzy, étant venu à Cosne, fit une partie de bateau à voile sur là Loire, en compagnie d'un ancien marinier, Quillier, dit Bicompagnon.<br>
Ils avaient à peine parcouru une distance de 400 mètres que la barque chavira.<br>
M. Comte, qui sait nager, fut secouru par les nommés Germain, Gireault et Rat ; le sieur Mouillers a sauvé le domestique.<br>
Quant au marinier, il avait disparu, son corps n'a pas été retrouvé.<br>
M. Comte est malade des suites de ce bain forcé.<br>
(''Le Petit Journal du 21/11/1873'')





Version du 12 septembre 2013 à 14:11

Relevé dans la presse

  • Un infanticide a été commis par une. femme de chambre à l'hôtel du Grand-Cerf. Cette femme a séparé la tête de son nouveau-né et l'a jetée dans les lieux en attendant de se débarrasser du corps. C'est là qu'une autre femme a découvert par hasard la tête, à son grand effroi.

La femme de chambre a été provisoirement conduite à l'hôpital, pour y recevoir des soins. Les médecins ont reconnu que l'enfant était né viable.
(Le Petit Journal du 16/09/1872)

  • M. Comte de Dreuil de Donzy, étant venu à Cosne, fit une partie de bateau à voile sur là Loire, en compagnie d'un ancien marinier, Quillier, dit Bicompagnon.

Ils avaient à peine parcouru une distance de 400 mètres que la barque chavira.
M. Comte, qui sait nager, fut secouru par les nommés Germain, Gireault et Rat ; le sieur Mouillers a sauvé le domestique.
Quant au marinier, il avait disparu, son corps n'a pas été retrouvé.
M. Comte est malade des suites de ce bain forcé.
(Le Petit Journal du 21/11/1873)