« Decize rue Claude Tillier » : différence entre les versions

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*Dans le quartier de l'ancien Couvent Sainte-Claire, la rue Claude-Tillier se glisse entre de vieilles maisons et les murs de clôture des derniers jardins. Au coin de la rue Saint-Just, s'élevait autrefois une tour de la première enceinte de la ville, la tour de Baugy, dont les derniers possesseurs furent Gilbert-Pierre puis Jean-Pierre Pallierne de Saulx.<br> Léonard Robinot l'Aîné, grand-père maternel de Louis-Antoine de Saint-Just avait hérité de la seconde maison à gauche, d'un pressoir et d'un jardin. Ces biens lui sont venus par héritage des familles Houdry, et auparavant Labot. Un plan dessiné par Amédée Julien en 1879 fait de cette maison le lieu de naissance du futur Conventionnel. Au XX<small><sup>e</sup></small> siècle cette maison était occupée par le musicien Gabriel Monnot (1870-1940).<br> Claude Tillier (1801-1844) : journaliste, pamphlétaire, poète et romancier né à Clamecy. Auteur de « ''Mon oncle Benjamin'' » et de « ''Lettres au Système'' ».<br><br> Début : Rue Saint-Just.<br> Fin : Rue du Grenier à Sel.<br><br>
*Dans le quartier de l'ancien Couvent Sainte-Claire, la rue Claude-Tillier se glisse entre de vieilles maisons et les murs de clôture des derniers jardins. Au coin de la rue Saint-Just, s'élevait autrefois une tour de la première enceinte de la ville, la tour de Baugy, dont les derniers possesseurs furent Gilbert-Pierre puis Jean-Pierre Pallierne de Saulx.<br> Léonard Robinot l'Aîné, grand-père maternel de Louis-Antoine de Saint-Just avait hérité de la seconde maison à gauche, d'un pressoir et d'un jardin. Ces biens lui sont venus par héritage des familles Houdry, et auparavant Labot. Un plan dessiné par Amédée Julien en 1879 fait de cette maison le lieu de naissance du futur Conventionnel. Au XX<small><sup>e</sup></small> siècle cette maison était occupée par le musicien Gabriel Monnot (1870-1940).<br> Claude Tillier (1801-1844) : journaliste, pamphlétaire, poète et romancier né à Clamecy. Auteur de « ''Mon oncle Benjamin'' » et de « ''Lettres au Système'' ».<br><br> Début : Rue Saint-Just.<br> Fin : Rue du Grenier à Sel.<br><br>
*Qui habitait ici en 1911 ? : [http://archives.cg58.fr/ark:/60877/a011335859815nw6ssc/1/54 <u>voir le recensement des AD 58</u>]<br><br>


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Version du 1 août 2013 à 13:59

RUE CLAUDE TILLIER à DECIZE Centre-Ville

  • Dans le quartier de l'ancien Couvent Sainte-Claire, la rue Claude-Tillier se glisse entre de vieilles maisons et les murs de clôture des derniers jardins. Au coin de la rue Saint-Just, s'élevait autrefois une tour de la première enceinte de la ville, la tour de Baugy, dont les derniers possesseurs furent Gilbert-Pierre puis Jean-Pierre Pallierne de Saulx.
    Léonard Robinot l'Aîné, grand-père maternel de Louis-Antoine de Saint-Just avait hérité de la seconde maison à gauche, d'un pressoir et d'un jardin. Ces biens lui sont venus par héritage des familles Houdry, et auparavant Labot. Un plan dessiné par Amédée Julien en 1879 fait de cette maison le lieu de naissance du futur Conventionnel. Au XXe siècle cette maison était occupée par le musicien Gabriel Monnot (1870-1940).
    Claude Tillier (1801-1844) : journaliste, pamphlétaire, poète et romancier né à Clamecy. Auteur de « Mon oncle Benjamin » et de « Lettres au Système ».

    Début : Rue Saint-Just.
    Fin : Rue du Grenier à Sel.


  • Source : Les Annales des Pays Nivernais n° 75