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| =='''L'église Saint Jean-Baptiste'''== | | __NOTOC__ __NOEDITSECTION__ |
| On ne peut douter que la foi chrétienne n'ait été implantée de bonne heure dans l'<u>[[Moulins Engilbert|endroit]]</u> puisque, dès le VIII<sup>e</sup> siècle, il existait un prieuré à peu de distance au sud.<br>
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| Cependant la ville ne fut érigée en paroisse qu'en 1361. Jusque là, elle avait formé l'annexe de <u>[[Moulins Engilbert|Commagny]]</u>, dont le prieur en sa qualité de curé primitif, conserva la collation jusqu'en 1789.<br>
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| Moulins Engilbert était le siège d'un archiprêtré qui avait dans son ressort 26 paroisses, l'abbaye de Bellevaux, la chartreuse d'Apponay, 4 prieurés et deux léproseries dont les lieux, pour ses dernières, sont inconnus.<br>
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| L'église paroissiale, siutée au centre de la ville, ne fut primitivement qu'une chapelle, que rebâtit et agrandit vers 1355, l'évêque de Noyon, Philippe de Moulins. Elle est dédiée à St Jean Baptiste, dont la fête donnait lieu autrefois à un grand concours de fidèles, le 24 juin de chaque année. L'apport et le louage de domestiques, qui ont encore lieu ce jour là, en sont un souvenir permanent.<br>
| | {{Cadre thématique|titre=<big>[[Commagny église|L'église de Commagny]]</big>}}</div></div> |
| Son style est celui du XV<sup>e</sup> siècle. Elle ne manque pas d'élégance, quoique irrégulière ; sa dimension est sans rapport avec la population de la paroisse.<br>
| | {{Cadre thématique|titre=<big>[[Commagny prieuré|Le prieuré de Commagny]]</big>}}</div></div> |
| Le chœur, éclairé par de longues fenêtre ogivales, jadis ornées de beaux vitraux peints, serait remarquable si l'architecte ne s'était mis, en plaçant au dessus la tour du clocher, dans la nécessité de lui donner une dimension trop exiguë. Cette tour, surmontée d'une haute flèche en bois est d'une belle exécution.<br>
| | {{Cadre thématique|titre=<big>[[Moulins Engilbert église Saint Jean Baptiste|L'église Saint Jean Baptiste]]</big>}}</div></div> |
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| | ==Informations== |
| | Ces pages sont consacrées aux édifices religieux sur la commune de Moulins Engilbert |
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| Elle renferme 3 grosses cloches, dont l'harmonieux accord frappe agréablement l'oreille. La plus ancienne fut bénite le 13 juin 1767, avec pour parrain François Guiller de Mont, juge civil et criminel au bailliage et pour marraine Françoise de Meun de La Ferté, la seconde le 9 mai 1775, bénite par le curé François Isambert, avec pour parrain Henri Souchon, avocat en parlement, conseiller du roi et receveur au grenier à sel et pour marraine Marie Anne Pougualt, veuve de Pierre Isambert, notaire et procureur et la 3e en 1807, pour parrain Louis François Viel d'Espeuilles, ancien major au régiment d'Angoulême, conseiller général de la Nièvre et pour marraine Madeleine Pauline Sallonnyer.<br>
| | [[Catégorie:Eglises et édifices religieux]] |
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| La nef, de 4 travées, est à plusieurs degrés au dessus du sol. Les voûtes sont appuyées par des nervures prismatiques naissant au sommet de piliers cylindriques, sans chapiteaux.<br>
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| Sur le côté nord, on voit 3 chapelles, dont l'une sert de baptistère. Les deux autres étaient connues jadis sous les noms de Champ Court et de Grandrye.<br>
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| Sébastienne Chevalier, veuve d'Antoine Courtois, bourgeois de la ville, fonda dans cette dernière le 29 août 1570, une grand'messe chaque vendredi à perpétuité.<br>
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| Sur le côté sud, est un collatéral en t^te duquel on voit un joli autel, dans le style de la renaissance, nouvellement érigé et dédié à la Ste Vierge. Auprès, il existe une chapelle dont les nervures viennent reposer sur des appuis aux armes de la famille Sallonnyer. Cette chapelle et le collatéral sont éclairés par 3 fenêtres à meneaux, surmontés d'un quatre feuille, qui semblent avoir appartenu à un édifice plus ancien.<br>
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| Sous cette partie règne une belle crypte où l'on descend par un escalier intérieur, situé près de celui de la tribune basse, disgracieuse, qui occupe la première travée de l'église. On voyait deux autels sur lesquels célébraient tous les jours quelques uns des chanoines.
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| Une petite porte latérale, actuellement murée, y donnait jadis accès de l'extérieur.<br>
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| Le chapitre avait la collation de la chapelle St Nicolas et St Marc, qui dépendait de l'ancienne léproserie.<br>
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| La demeure des chanoines occupait la place des bâtiments qui furent le berceau de leur fondateur, et se trouvait près du chœur de l'église. Les caves, qui règnent sous l'ancien appartement du doyen, sont dignes de remarque.<br>
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| En 1794, les révolutionnaires vandalisaient l'église. Il ne resta du magnifique arbre de Jessé, qui s'épanouissait à la rosace que quelques personnages. Les niches du clocher furent dépouillées de leurs statues. L'église s'est ressentie longtemps de ces sottes mutilations, dont le récit provoque le dégoût et la tristesse.<br>
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| Informations tirées de '''Le Morvand''' par [[Dun les Places curés|Jean François Baudiau]] en 1867
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| [[Image:Eglise-Moulins Engilbert01.jpg|right|thumb|<center>L'église Saint Jean-Baptiste de Moulins-Engilbert</center>]]
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| *Église autrefois collégiale et paroissiale de Saint Jean-Baptiste, commencement du XVI<sup>e</sup> siècle, sauf la crypte, qui est un peu plus ancienne (XV<sup>e</sup> siècle), les chapelles et la partie supérieure du clocher, qui datent de la seconde moitié du XVI<sup>e</sup>.
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| *Plan rectangulaire, sauf la saillie du sanctuaire à trois pans ; trois chapelles du côté nord.
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| *Édifice entièrement voûté sur ogives prismatiques retombant sur des consoles, où pénètrent des piliers et des colonnes engagées.
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| *Nef de quatre travées, avec collatéral méridional de trois travées, sous lequel se trouve la crypte, qui est aussi voûtée sur ogives prismatiques avec des clefs portant la croix ancrée des armes de la ville, et dans laquelle on descend maintenant de la nef par un escalier relativement moderne.
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| *Baies garnies de meneaux d'un dessin assez compliqué.
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| *Façade irrégulière : deux portes carrées inégales, encadrées sous des arcs brisés décorés de moulures rondes retombant sur des colonnettes de même forme à chapiteaux de choux frisés.
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| *Le tympan de la grande porte offre un piédestal dont la statue manque ; celui de la porte du collatéral, orné de festons, porte un bel écusson sculpté aux armes de Philippe de Moulins, secrétaire des rois Charles V et Charles VI, évêque de Noyon à la fin du XIV<sup>e</sup> siècle, fondateur de la collégiale de Moulins-Engilbert.
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| *A l'angle sud de cette façade, base d'une sorte d'échauguette en encorbellement, portée sur deux contre-forts, qui servait de clocher au chapitre.
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| *Cette partie sud de la façade semble être un peu plus ancienne que le reste : on y voit des arrachements et des irrégularités dont il est difficile de s'expliquer la cause.
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| *Deux portes, actuellement bouchées, donnaient directement dans la crypte, dont l'aire est à peu près au niveau du sol, l'église étant bâtie à mi-côte.
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| *Beau clocher central à deux étages, très ornementé, divisé horizontalement par des cordons de choux frisés et appuyé aux angles par des contre-forts à pinacles renfermant des niches, dont une seule est occupée par une assez bonne statue de saint Jean-Baptiste ; sur le socle de cette niche, écu aux armes (trois trèfles) de Jean de Grandrye, doyen de Saint Léonard de Corbigny et curé de Moulins de 1554 à 1570, riche ecclésiastique à qui l'on doit sans doute l'achèvement de ce clocher.
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| *Baies en arc brisé bordées de moulures compliquées.
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| *Petite flèche en ardoise couronnant la tour d'une manière peu heureuse.
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| *Quelques restes de verrières, qui devaient être fort belles : arbre de Jessé à la grande baie occidentale ; jugement dernier dans l'une des hautes fenêtres de l'abside.
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| *Dans la première travée de la nef, peinture à demi effacée représentant la légende de saint Hubert, XVI<sup>e</sup> siècle.
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| *Écu sculpté de la famille Le Tort (trois besants et une bordure denchée) à la clef de voûte de la quatrième travée de la nef ; autre écusson, à trois oiseaux, dans la dernière travée du collatéral.
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| *Vantaux du portail sculptés.
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| *Fonts en granit, datés de 1511 ; cuve ornée d'une guirlande de feuillages.
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| *Deux dalles funéraires : l'une, qui était celle d'un prêtre, datant du XIV<sup>e</sup> siècle et provenant de l'ancienne église, porte une croix fleurdelysée accostée d'un calice ; l'autre offre, gravée au trait, la représentation d'un cadavre décharné, la tête posée sur un coussin, sous une arcade cintrée ; de chaque côté de l'arcade, deux écussons : l'un aux armes du personnage (trois trèfles), l'autre parti des mêmes armes et de celles de sa femme (un arbre).
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| *Cloches avec inscription de 1767 et de 1776.
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| =='''L'église de Commagny'''==
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| L'église prieuriale et paroissiale, aujourd'hui simple chapelle est dans une belle position d'où elle domine tous les alentours. Elle est dédiée à St Laurent, ont la fête donnait lieu autrefois à un grand concours de fidèles ; les proportions en sont remarquables, le style est le romano-byzantin.<br>
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| Le chœur, formé de l'abside et du transept est très intéressant. Au dessus du point intersection, s'élève une haute tour de même style avec des baies géminées. La nef, jadis réservé aux fidèles, est un vaste carré sans voûte ni plancher.<br>
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| Cette église, aujourd'hui est fort dégradée.<br>
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| Au dessous est là fontaine de St Gervais, que le peuple tient encore en grande vénération et à laquelle il attribue la vertu de guérir de la colique. En tête, est une statue du saint que le vulgaire nomme St Zevras. Dans les temps de sécheresse, on la plongeait dans l'eau pour obtenir de la pluie.<br>
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| Informations tirées de '''Le Morvand''' par [[Dun les Places curés|Jean François Baudiau]] en 1867
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| [[Image:Eglise-Moulins Engilbert02.jpg|thumb|<center>L'église de Commagny</center>]]
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| *Ancien prieuré conventuel de l'ordre de Saint Benoît, grande et belle église, première moitié du XII<sup>e</sup> siècle.
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| *Plan cruciforme.
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| *Absides voûtées en cul-de-four ; les parois de la principale, garnies de cinq arcatures cintrées, retombent sur des colonnettes engagées, portées sur un stylobate continu, dont les chapiteaux soutiennent en outre de courts pieds-droits qui font partie d'un système de petites arcatures régnant à la hauteur de la naissance du cul-de-four.
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| *Larges baies cintrées simples ouvertes sous trois des arcatures.
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| *Chœur voûté en berceau cintré, communiquant par des arcades avec des collatéraux voûtes d'arête.
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| *Coupole sur le transept.
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| *Arcs-doubleaux cintrés sur colonnes engagées ; bras de la croisée fort courts, voûtés en berceau cintré, communiquant avec la nef par de petits passages ménagés derrière les piliers de la partie centrale.
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| *Dans le mur ouest du bras sud, porte en plein cintre, maintenant bouchée, qui donnait dans le cloître.
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| *Nef sans collatéraux, non voûtée.
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| *Chapiteaux imités de l'antique ou décorés d'ornements romans ; l'un porte deux aigles, un autre des guerriers qui, le bouclier pointu passé au bras gauche, percent de leur lance un personnage couché à leurs pieds.
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| *A l'extérieur du mur terminal du bras droit de la croisée qui joignait les bâtiments claustraux, on remarque une porte bouchée, placée à une certaine hauteur, et deux petites armoires pratiquées dans le mur.
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| *Deux rangs de corbeaux, faisant saillie sur le mur sud de la nef à l'extérieur, portaient le toit du cloître, dont il ne reste pas de traces.
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| *Baies cintrées assez larges.
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| *Corniche à moulures aux absides.
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| *Beau clocher central à trois étages : sur chaque face, une baie bouchée assez large, deux petites baies au-dessus ; ensuite, au 3ème étage, quatre baies cintrées disposées deux à deux, séparées par des colonnettes.
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| *Vilaine petite flèche en bardeau.
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| *Dans le tympan de la porte bouchée du croisillon sud, traces de peintures romanes.
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| *Dans le croisillon nord, joli autel décoré de tierce-feuilles inscrites dans des orles et d'une croix fleuronnée cantonnée de quatre-feuilles, XV<sup>e</sup> siècle.
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| *Quelques fragments d'inscriptions tumulaires du XIV<sup>e</sup> siècle : épitaphes de la fin du XVIII<sup>e</sup>.
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| *Retable du XVII<sup>e</sup> siècle.
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| *Cloche avec inscription du XVII<sup>e</sup> siècle.
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| *Les bâtiments claustraux se trouvaient au sud de l'église ; il n'en reste qu'un petit bâtiment renfermant un four, fin du XV<sup>e</sup> siècle.
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| *Logis du prieur au nord, à la hauteur du transept : bâtiment carré flanqué d'une tour d'angle, XV<sup>e</sup> siècle.
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| *Restes d'un mur de défense à l'ouest.
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| Sources : Répertoire archéologique du département de la Nièvre rédigé sous les auspices de la Société nivernaise des Lettres, sciences et arts par M. le comte de Soultrait ; impr. nationale (Paris) – 1875 et ''Patrimoine des communes de la Nièvre (Éditions Flohic)''<br>
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| Photo : Éric Monnier (GenNièvre)<br>
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| --[[Utilisateur:Mmirault|m mirault]] 14 janvier 2011 à 13:21 (CET)
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