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:Jusqu'à la fin de l'ancien régime, les classes populaires restent embrigadées dans certains cadres religieux, comme les confréries de métiers.<br>
Jusqu'à la fin de l'ancien régime, les classes populaires restent embrigadées dans certains cadres religieux, comme les confréries de métiers.<br>


:Au 17e siècle, on peut dire qu'il n'y a pas à Nevers de métier sans confrérie. Chacune de ces associations réclame la protection des saints et saintes, partons et patronnes ordinaires du commerce et de l'industrie.<br>  
Au 17e siècle, on peut dire qu'il n'y a pas à Nevers de métier sans confrérie. Chacune de ces associations réclame la protection des saints et saintes, partons et patronnes ordinaires du commerce et de l'industrie.<br>  


:Cela n'empêche pas les gens de métiers de participer encore aux confréries ordinaires, ouvertes à tous les fidèles. De nombreux marchands se retrouvent par exemple dans la confrérie de la Ste-Trinité ou des Apôtres.
Cela n'empêche pas les gens de métiers de participer encore aux confréries ordinaires, ouvertes à tous les fidèles. De nombreux marchands se retrouvent par exemple dans la confrérie de la Ste-Trinité ou des Apôtres.


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[[Catégorie:Congrégations et confréries]]
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Jusqu'à la fin de l'ancien régime, les classes populaires restent embrigadées dans certains cadres religieux, comme les confréries de métiers.

Au 17e siècle, on peut dire qu'il n'y a pas à Nevers de métier sans confrérie. Chacune de ces associations réclame la protection des saints et saintes, partons et patronnes ordinaires du commerce et de l'industrie.

Cela n'empêche pas les gens de métiers de participer encore aux confréries ordinaires, ouvertes à tous les fidèles. De nombreux marchands se retrouvent par exemple dans la confrérie de la Ste-Trinité ou des Apôtres.