« Imphy Archéologie » : différence entre les versions

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Nous avons commencé à sonder le sol, du coté de l'extrémité la plus grosse, pensant qu'elle correspondait au pied du menhir. Le mauvais temps nous a fort gêné et nous avons dû abandonner. Les week-ends précédents, les fortes pluies nous ont empêché de reprendre les sondages. Nous n'avons hélas pas repéré la fosse d'érection mais avons recueillis un fragment de céramique qui pourrait être néolithique. Indépendamment des prospections collectives, j'ai à plusieurs reprises quadrillé le terrain autour du "mégalithe" et y ai trouvé quelques éclats de silex.
Nous avons commencé à sonder le sol, du coté de l'extrémité la plus grosse, pensant qu'elle correspondait au pied du menhir. Le mauvais temps nous a fort gêné et nous avons dû abandonner. Les week-ends précédents, les fortes pluies nous ont empêché de reprendre les sondages. Nous n'avons hélas pas repéré la fosse d'érection mais avons recueillis un fragment de céramique qui pourrait être néolithique. Indépendamment des prospections collectives, j'ai à plusieurs reprises quadrillé le terrain autour du "mégalithe" et y ai trouvé quelques éclats de silex.
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*Source : Christian Bego - Groupe Nivernais de Préhistoire (GNP)''<br>
*Source : Christian Bego - Groupe Nivernais de Préhistoire (GNP)''<br>
[[Image:Imphy le Chaillou Magnien.jpg|thumb|left|250px|<center>Dans la presse locale<ref>Article du Journal du Centre du 16 septembre 2022</ref></center>]]





Version du 16 septembre 2022 à 06:39

Mégalithe du "Chaillou Magnien"

Le menhir avant d'être renversé[1]

A 1 km à l'est du bourg d'Imphy, près du domaine de Linière, se trouve un bloc de pierre longtemps considéré comme un menhir.
Reproduit dans le Bulletin de la Société (Vol.I,1852), ce monument a été signalé comme menhir dans le Dictionnaire Archéologique de la Gaule (1878).
Il mesure 2,40 m de haut et présente 4 faces dont 2 faces plus larges mesurant 1,65 m Les deux autres faces, plus étroites ont de 0,80 m à 0,60 m.

Il est formé d'une roche siliceuse qui constitue la charpente de la colline et sa couleur disparaît sous une croûte de petits lichens verdâtres. A plusieurs endroits, il est noirci, probablement par des feux qui auraient été faits à sa base.

En 1885, il aurait été renversé par les propriétaires de l'époque qui croyaient y trouver un trésor. Aucun trésor n'a été découvert et ce bloc est resté couché sur le flanc.
C'est en août 1992 que nous avons décidé d'y entreprendre des sondages afin de retrouver la fosse d'érection.
C'est avec le G.N.P (Groupe Nivernais de Préhistoire) que nous avons commencé à dégager le bloc de ses buissons d'épines et à débarrasser ce dernier des mousses qui le recouvraient.

Nous avons commencé à sonder le sol, du coté de l'extrémité la plus grosse, pensant qu'elle correspondait au pied du menhir. Le mauvais temps nous a fort gêné et nous avons dû abandonner. Les week-ends précédents, les fortes pluies nous ont empêché de reprendre les sondages. Nous n'avons hélas pas repéré la fosse d'érection mais avons recueillis un fragment de céramique qui pourrait être néolithique. Indépendamment des prospections collectives, j'ai à plusieurs reprises quadrillé le terrain autour du "mégalithe" et y ai trouvé quelques éclats de silex.

  • Source : Christian Bego - Groupe Nivernais de Préhistoire (GNP)
Dans la presse locale[2]


Notes et références

Notes


References

  1. Image de la Société académique du Nivernais (1887)
  2. Article du Journal du Centre du 16 septembre 2022