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Jean-Baptiste Rémi de PERCY, ancien abbé de Cervon: 1807. Décédé, desservant de Dun les Places, le 27 mai 1823 à l'âge de soixante-six ans.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
===Crime ou enlèvement à Villapourçon - 1923===
Il n'est que bruit dans tout le Morvan de la disparition d'une jeune enfant de trois ans, le petite JEANNE MARCEAU, demeurant chez chez parents au hameau des Marceaux, commune de [[Villapourçon]].
 
Voici comment les faits se sont produits :
 
M. Marceau, âgé d'une trentaine d'années, demeurant au hameau des Vaillants, commune de [[Glux en Glenne]] changeait de domicile samedi dernier et allait habiter le hameau des Marceaux, coquet petit village d'une centaine d'habitants, flanqué sur le versant de La Gravelle qui regarde [[Villapourçon]].<br>
Mme Marceau était occupée, vers onze heurs du matin à mettre un peu d'ordre dans sa nouvelle demeure et préparait aussi le déjeuner pour son mari et le domestique qui amenaient sur des chariots leur mobilier.
 
La petite Jeanne était un peu dépaysée dans les nouveaux locaux qu'elle n'avait jamais vus, aussi sa mère, la laissa sortir un instant dehors dans la cour pour s'amuser, sans toutefois la perdre de vue. Il s'était à peine écoulé un quart d'heure depuis la sortie de l'enfant que la mère s'enquit de ce qu'elle devenait. Mme Marceau sortit dans l cour, appela la fillette, mais celle-ci ne répondit pas. Elle sera, sans doute, chez une voisine, se dit-elle et elle alla frapper aux portes des maisons d'à côté. Mais, pour toutes réponses, on lui répondit que l'on n'avait pas vu l'enfant.
Affolée, Mme Marceau courut de tous côtés, fouilla les dépendances de la maison, les jardins et les environs du village et appela la petite mais rien ne lui répondit.<br>
Peu après, M. Marceau arriva avec son domestique ; sa femme, en quelques mots le mit au courant de ce qui venait d'arriver. Avant de manger quoi que ce soit, le père de l'enfant se mit à la recherche de sa fillette. En compagnie de plusieurs hommes, on battit la campagne, on fouilla les coins et recoins mais toutes leurs recherches restèrent sans résultat.
 
Comme il avait plu et que la boue des chemins était assez molle, on releva la trace de pas de l'enfant qui était chaussé de sabots. On suivit ces pas pendant une cinquantaine de mètres le long d'un chemin et, subitement les traces se perdirent. A l'endroit où l'on releva la dernière empreinte des petis sabots, on ne trouva aucune trace de pas d'homme ni d'animal quelconque. l'enfant avait disparu mystérieusement enlevée par une force aérienne.
 
Pendant toute la journée de dimanche, de concert avec les gendarmes de [[Villapourçon]], tous les hommes des hameaux environnant organisèrent des battues dans les bois alentour ; mais toutes ces recherches n'aboutirent à rien. Que s'était-il passé, nul ne le sait. Les jours ont succédé aux nuits et les nuits aux jours et pas le plus petit indice n'est venu jeter la lumière sur la disparition de cette enfant.
 
Jeudi, nous nous sommes entretenu de cette disparition avec M. Marceau, père de la fillette. Le malheureux est dns un état d'affaiblissement moral et physique qui fait peine à voir. quant à ,la mère, elle ne vit plus depuis ce jour malheureux où la gaieté est partie de ce foyer, pour peut-être ne plus revenir.
 
Une plainte a été déposée au Parquet de [[Château Chinon]] qui, nous l'espérons, déploiera tous les moyens pour retrouver l'enfant morte ou vivante.
 
=====Le crime=====
''La petite Jeanne Marceau a été étranglée après avoir subi les derniers outrages. L'assassin arrêté, avoue avoir brûlé le petit cadavre dans sa marmite à cochons pour le faire disparaître.''
 
Dans le courant de l'année, les époux Marceau, cultivateurs au hameau des Vaillants, commune de [[Glux en Glenne]], affermaient une maison avec quelques dépendances, aux Marceaux. Cette maison avait été affermée par Mme Joyeux dont le premier mari, M. Jean Laudet, frère de l'assassin, avait été tué à la guerre. Dans le partge, la maison avait été  attribuée à Mme Joyeux.
 
Son ex beau-frère, François Laudet, âgé de 50 ans, qui espérait que la maison lui reviendrait en conçut un vif dépit et plus d'une fois, il se serait laissé aller à des menaces. D'un caractère violent, sournois, d'une avarice sordide, il était redouté dans le pays.
 
=====L'arrivée de la brigade mobile=====
Le Parquet saisi de l'affaire faisait appel à la brigade mobile d'Orléans et samedi matin, M. Mutel, commissaire spécial, assisté de M. Nocquet, inspecteur, se rendaient à [[Villapourçon]] et commençaient leur enquête. les parents furent longuement entendus, on perquisitionna chez eux. les époux Marceau, arrivés depuis trois jours, déclarèrent qu'ils ne se connaissaient pas d'ennemis. Le crime par vengeance devait être écarté..
 
=====Les enfants Laudet parlent=====
M; Mutel apprenait que François Laudet nourrissait une haine féroce contre son ex belle-soeur, qui, disait-il, l'avait dépouillé de la maison paternelle. Il se rendit au domicile de Laudet. A vingt mètres de son habitation, il trouva le petit Louis Laudet, âgé de quatre ans jouant avec son frère Maurice, âgé de neuf ans.
Le commissaire parla au plus jeune, lui offrit des bonbons en lui demandant sur un ton paternel, s'il ne saurait pas ce qu'était devenue la petite Marceau. " Mouai, y s'sait ran, y n'é ran vu" répondit l'enfant en cherchant à se dissimuler. Le commissaire, certain qu'il tenait la bonne piste, insista, l'enfant répéta la même phrase comme une leçon apprise. L'aîné, Maurice, prit part et savamment cuisiné, répondit enfin " Y vas bin vous y dire mais preumettez mouai que mon pa n'iré pas en priyong ". Le commissaire promit et Maurice parla.
 
Il raconta dans le patois du pays que le 17 novembre, la petite Marceau était entrée chez eux en mangeant son pain ; son pa, en apprenant que c'était la fille des gens qui " étint dans la mayong de son grand pé " l'avait prise et l'avait étranglée en la serrant contre le lit.
 
Le commissaire entra aussitôt chez Laudet, et sans plus d'explications, il l'invita à l'accompagner à ,la gendarmerie de [[Villapourçon]] pour donner quelques renseignements. Interrogé aussitôt sur les propos tenus par ses enfants, il nia avec énergie.<br>
Pendant qu'on le gardait à vue à la chambre de la caserne, les agents remontèrent aux Marceaux et interrogèrent Mme Laudet qui nia avec autant d'énergie que son mari.
 
=====Madame Laudet fait le récit du crime=====
 
M. Mutel se rendait de nouveau aux Marceaux et reprenait l'interrogatoire de la femme Laudet.<br>
Entre temps, les langues s'étaient déliées, il avait appris que l'assassin était une brute, doublée d'un satyre, terrorisant sa femme de douze ans plus jeune que lui, maltraitant ses enfants. L'idée du crime abominable avait germé dans l'esprit du commissaire.
 
Accablée, d'une voix entrecoupée par les sanglots, Mme Laudet parla :<br>
''Le 17 novembre, vers midi, je rentrais du lavoir avec mes deux enfants quand Mme Marceau vint me demander si je n'avais pas vu sa petite Jeanne. Je répondis que non et, entendant marcher dans le grenier, je dis à mon petit Maurice d'appeler son père pour déjeuner. Mon mari descendit et je remarquai qu'il semblait préoccupé ; mais comme il était brutal avec moi et mes enfants, je ne lui demandai aucune explication. Il mangea rapidement et remonta sur le grenier. Cinq minutes après, il redescendait traînant la petite Marceau qui ne donnait plus signe de vie. Je pris l'enfant dans mes bras et essayai de lui faire avaler un peu de rhum avec un morceau de sucre ; la pauvre petite, les yeux fermés se tordait dans les spasmes de l'agonie. C'est alors que mon mari me l'arracha brutalement des bras et la pressant sur le lit, il l'étrangla. Il prit ensuite le cadavre sous son bras et sortit. je ne sais ce qu'il en a fait et n'ai pas osé le lui demander. si je n'ai pas parlé plus tôt, c'est que je craignais, ainsi que mon mari m'en avait menacé, qu'il me tuerait, moi et mes enfants.
 
De nouveau, les agents remontaient au grenier et bouleversèrent tout, sans résultat. Cependant, un bourgeron blanc pendu à un clou présentait au col des traces de sang coagulé très visibles.
 
 
'''8 000 FRANCS ONT DISPARU'''
 
Autre détail qui indique que Laudet se sentait soupçonné : depuis samedi, une somme de 8 000 francs, appartenant en propre à sa femme, avait disparu de l'armoire. l'assassin qui pensait probablement utiliser cette somme pour prendre la fuite, refuse de dire où il l'a cachée.
 
Jeudi matin, Laudet était transféré à [[Château Chinon]]. A son départ de [[Villapourçon]], il dut être protégé par les gendarmes et les agents contre la population qui voulait l'écharper.
 
 
'''LE CADAVRE A ETE BRULE DANS UNE MARMITE A COCHONS'''
 
A son arrivée au Palais de Justice, sur une nouvelle demande de M. Mutel de lui dire ce qu'il avait fait du cadavre de sa victime, il répondit :
''Je l'ai brûlé. Où ? dans votre four ou dans une marmite  dans ma marmite à cochons. Alors, vous l'avez découpé en morceaux ? qu'avez-vous fait des ossements ? Je ne me rappelle plus.''<br>
M. Desjardins, juge d'instruction, chargé de cette affaire, saura obtenir des aveux plus complets de l'assassin.
 
Pour les habitants de [[Villapourçon]] et peut-être aussi pour la justice, Laudet, après avoir odieusement abusé de cette pauvre petite fille de trois ans, la rapporta à sa femme, pensant qu'elle n'était qu'évanouie. Après l'avoir étranglée, alors qu'agonisante, il dissimula le cadavre, puis, la nuit venue, il a probablement découpé la pauvre petite et jeté les morceaux dans la marmite servant comme pâtée des cochons.<br>
Des voisins affirment, aujourd'hui, avoir vu, le 18 novembre, une vive lumière dans le fournil de Laudet, vers 4 heures du matin.
 
 
'''LE CADAVRE DE LA PETITE MARCEAU EST RETROUVE
 
Jeudi matin, à 9 heures, un marchand de bois d'Autun qui fait exploiter une coupe dans la Forêt de la Gravelle, découvrait, à environ 1500 mètres du village des Buteaux, le cadavre d'un enfant couché sur la feuillée. Soupçonnant avec raison, qu'il se trouvait en face du cadavre de la petite Jeanne Marceau, il pria ses bûcherons de veiller sur le cadavre, sans le déranger, en attendant qu'il aille prévenir la justice.<br>
Le même jour, à une heure, M. Denier, Procureur de la République, M. Desjardins, juge d'instruction, M. Renaud, greffier, Maître Fouillet, avocat de Laudet, se rendaient en auto à la Gravelle. Une deuxième voiture, dans laquelle se trouvaient Laudet et quatre gendarmes, suivait à peu de distance. Le docteur Peyronie avait été commis pour assister la justice.<br>
A leur arrivée dans la forêt de la Gravelle, les magistrats procédèrent aux premières constatations. Le cadavre de la petite Marceau, reconnu par son père qui avait été prévenu par dépêche, était étendu sur le vente ; les bras allongés le long du corps ; les rats avaient mangé une partie du menton ; les genoux de la pauvre petite avaient manqué leurs places de 34 centimètres de la feuillée.
 
Interrogé par le juge d'instruction, Laudet déclara ne pas connaître cette enfant, et tout ignorer du crime, persistant dans son système de défense qu'il a adopté depuis quelques jours : tout nier.<br>
L'assassin, en effet, se déclare plus innocent que la petite victime ! Il n'a rien avoué aux agents de la police mobile, il n'a rien dit aux gendarmes, il ignore tout du crime !
 
Quelques minutes plus tard, la femme de Laudet arriva. ''Ce sont bien là les vêtements de Jeanne Marceau ?''. Baissant la tête, serrant dans sa main le bras de son aîné Maurice, elle répondit : ''Oui, je les reconnais''.<br>
L'autopsie révéla que la pauvre petite avait subi les derniers outrages et qu'elle avait été étranglée. les traces des mains de l'assassin étaient encore très visibles. Le juge d'instruction fit avancer Laudet et lui demanda de mettre sa main sur le cou de l'enfant, il hésita d'abord, puis il y consentait ; les doigts du misérable s'adaptaient exactement aux traces de strangulation. L'assassin, à chaque question, se contentait de répondre : ''Je n'en sais rien ; N'avez-vous pas vu, le soir du crime, un chasseur qui vous demanda son chemin ? Ce chasseur affirme qu'il a rencontré un homme répondant à votre signalement et qui portait un sac sur le dos.''
 
Le juge d'instruction n'insista pas. La misérable brute reprit le chemin de [[Château Chinon]] , il réintégrait la prison.
 
*Source : AD 58 - Le Journal du Morvan<br>
*Transcripteur : [[Utilisateur:Mabalivet|Mabalivet]] ([[Discussion utilisateur:Mabalivet|discussion]]) 24 mars 2019 à 19:28 (CET)
 
 
 
 
===COMTES DE NEVERS===
 
 
 
 
'''MAISON DE NEVERS'''
 
LANDRY : Seigneur de [[Metz le Comte]] et de Monceaux, devint comte de [[Nevers]] et d'Auxerre en 992 par son mariage avec Mahaut, fille d'Otte-Guillaume et d'Ermentrude de Roucy. (992 - 1040)
 
RENAUD 1er de Nevers : Fils de Landry, épousa Adélaïde de France, fille du roi Robert. ( 1028 -1040)
 
GUILLAUME 1er de Nevers : Comte de Nevers et d'Auxerre, fils aîné de Renaud, devint aussi comte de Tonnerre en 1045 par son mariage avec Hermengarde, fille de Renaud, comte de Tonnerre et de Bar sur Seine. Il abdiqua en 1079 mais il continua à porter le titre de comte de [[Nevers]]. Il reprit le comté comme tuteur de son petit-fils en 1089. (1040 - 1100)
 
RENAUD II de Nevers : Comte de [[Nevers]] et d'Auxerre par suite de l'abdication de son père. Marié à Ide-Raymonde, fille d'Arthaud, comte de Lyon, puis Agnès de Beaugency. (1079 - 1089)
 
GUILLAUME II de Nevers : Comte de [[Nevers]] et d'Auxerre puis de Tonnerre. Epousa Adélaïde et se fit chartreux en 1147. (1109 - 1147)
 
GUILLAUME III de Nevers : Comte de Nevers, d'Auxerre et de Tonnerre. Fils aîné de Guillaume II, eut pour femme Ide de Carinthie. (1147 - 1161)
 
GUILLAUME IV de Nevers : Comte de Nevers et d'Auxerre, fils aîné d Guillaume III. Epousa Eléonore de Vermandois, comtesse de Saint Quentin, dame de Valois, fille de Raoul 1er, comte de Vermandois. Il n'eut point d'enfants. Il mourut en terre Sainte laissant son frère pour successeur. (1161  - 1168)
 
GUY DE NEVERS : Comte de[[Nevers]] et d'Auxerre. Eut pour femme Mahaut de Bourgogne, fille unique de Raymond de Bourgogne, veuve d'Eudes III, seigneur d'Isssoudun. (1168 - 1176)
 
GUILLAUME V DE NEVERS : Comte de Nevers et d'Auxerre, sous la tutelle de sa mère Mahaut. Mourut sans alliance, dernier de sa race laisant pour unique héri'''tière sa soeur Agnès. (1176 - 1184)
 
 
'''MAISONS DE COURTENAY, DE DONZY, DE CHATILLON ET DE BOURBON'''
 
Pierre de Courtenay : Fils de Pierre de France, fils lui-même de Louis le Gros et d'Elisabeth, dame de Courtenay. devint comte de [[Nevers]] et d'Auxerre par son mariage avec Agnès de Nevers. Il fut comte de Tonnerre en 1191 puis empereur de Constantinople. Ayant perdu sa femme en 1192, il conserva le comté de [[Nevers]] comme tuteur de sa fille, jusqu'à son mariage de cette dernière. (1184 - 1199)
 
[[DE COURTENAY Mahaut|Mahaut DE COURTENAY]] : Sous la tutelle de son père de 1192 à 1199, époque de son mariage avec Hervé de [[Donzy]], mort en 1223, laissant une fille, Agnès, mariée en 1221 à Guy de Châtillon, comte de Saint Pol. Agnès mourut la même année que son père, et Guy, son époux en 1226. Ils laissèrent deux enfants en bas âge : Gaucher et Yolande, qui héritèrent de leurs de droits sur les comtés de [[Nevers]], d'Auxerre et de Tonnerre et sur la baronnie de [[Donzy]). Mahaut, devenue veuve, épousa en secondes noces en 1226, Guy, comte de Forez, dont il n'eut point d'enfants. Après la mort de son second mai en 1241, elle gouverna d'abord elle-même ses états puis, cette même année, elle abandonna à son petit-fils Gaucher de Châtillon, le comté de [[Nevers]], ne se réservant que les comtés d'Auxerre et de Tonnerre. Elle mourut en 1257.
 
HERVE DE DONZY : Baron de [[Donzy]], comte de Gien, seigneur de [[Cosne]] et comte de [[>nevers]] par son mariage avec Mahaut de Courtenay, puis comte d'Auxerre et de Tonnerre en 1218 à la mort de Pierre de Courtenay. (1199 - 1222)
 
GUY : Comte de Forez, comte de [[Nevers]], d'Auxerre et de Tonnerre et baron de [[Donzy]] par son mariage avec la comtesse Mahaut. Tuteur des enfants d'Agnès de [[Donzy]]. (1226 - 1241)
 
GAUCHER DE CHATILLON : Baron de [[Donzy]] et seigneur des dépendances de cette baronnie. devint comte de [[Nevers]] après l'abandon que lui fit de ce comté Mahaut, son aïeule. Il fut tué à la bataille de La Massoure, sans avoir eu d'enfants de Jeanne de Boulogne, fille de Philippe de France, dit Hurepel. Il laissa ses biens à sa soeur Yolande, femme de sire de Bourbon. (1241 - 1250)
 
ARCHAMBAUD VII : Sire de Bourbon, comte de [[Nevers]] et baron de [[Donzy]] par son mariage avec Yolande de Châtillon. (1249)
 
 
'''MAISONS DE BOURGOGNE ET DE FRANCE'''
 
Eudes de Bourgogne : Fils de Hugues IV, duc de Bourgogne, comte de [[Nevers]] et baron de [[Donzy]] par son mariage avec Mahaut de Bourbon, seconde fille d'Archambaud VII et de Yolande de Châtillon. Devint comte d'Auxerre et de Tonnerre à la mort de la comtesse Mahaut de Courtenay, bisaïeule de sa femme. (1250 - 1269)
 
YOLANDE DE BOURGOGNE : Fille aînée de Eudes. Fut comtesse de [[Nevers]], sous la tutelle de son père jusqu'à son mariage avec Jean Tristan, fils de Saint Louis en 1265. Mariée en 1266, veuve en 1270, Yolande se remaria l'année suivante avec Robert de Flandre. (1262 - 1265)
 
JEAN DE FRANCE, DIT TRISTAN : 4ème fils de Saint Louis, comte de [[Nevers]] et baron de [[Donzy]] par son mariage avec Yolande de Bourgogne. (1265 - 1270)
 
 
'''MAISON DE FLANDRE'''

Version du 30 septembre 2019 à 13:39

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Jean-Baptiste Rémi de PERCY, ancien abbé de Cervon: 1807. Décédé, desservant de Dun les Places, le 27 mai 1823 à l'âge de soixante-six ans.