Decize

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Population

Decize s'étend sur une superficie de 48,22 km² avec une altitude minimum de 183 mètres et un maximum de 243 mètres. Ses habitants les Decizois(es) sont, d'après le recensement publié en 2012, au nombre de 5980 avec une densité de 124,01 personnes par km².

Tableaux récapitulatifs du recensement de la population [1]

Année
1968
1975
1990
1999
2006
2007
2009
Population
7175
7528
7437
6876
6450
5975
5903
5792
Densité moyenne 148,80 156,10 154,20 142,60 133,80 123,90 122,40 120,10
Année 1793 1800 1806 1820 1831 1836 1841 1846 1851 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
Population 2309 2729 2503 2453 3068 3195 3355 3479 3994 4069 4362 4594 4538 4511 4927 5101 4977 5192 4990 5080 4816 4449 4384 4308 4134 4765 5039 6594

Histoire

Les empreintes gauloises et romaines

Cette ville, construite sur un rocher au milieu d'une île entourée de deux bras de la Loire, située pour être commerçante de par ses cours d'eau, ses routes et sa ligne de chemin de fer avait une grande importance dans le pays des Éduens. Elle faisait partie de la république éduenne à l'époque gauloise avec pour capitale Bibracte. C'est aussi une des plus anciennes villes du département. Guy Coquille, dans son Histoire du Pays et Duché de Nivernois, 1595-1602, dit que Decize est une petite ville assize en une isle environnée de la rivière de Loire, qui n'est pas une isle plate comme sont ordinairement les isles sur rivières ; mais est eslevée, et surgit en une petite montagne en rochier, en laquelle est le chasteau et partie de la ville...
Jules César l'appelle Decetia dans ses Commentaires sur la Guerre des Gaules. Elle prend le nom de Decize en 1539 et le nom de Decize-le-Rocher en 1793. Rocher-la-Montagne sera un autre nom révolutionnaire.

Un événement très important et probablement le plus ancien se déroule à Decize en 52 avant J.-C..
Jules César qui se trouve à Bourges, et, bien que très engagé dans la lutte contre Vercingétorix, y vient en personne. Les principaux des Éduens l'ont sollicité pour arbitrer un différend survenu à Bibracte. Cotus et Convictolitan se prétendent tous les deux élus vergobrets[2]. César convoque le Sénat éduen ainsi que tous ceux intéressés par le débat. Après s'être fait remettre un compte détaillé, il contraint Cotus à renoncer à cette fonction et confirme l'élection de Convictolitan. En récompense de sa médiation, il demande aux Éduens 10 000 hommes de pied et toute leur cavalerie. Il part ensuite mettre le siège devant Gergovie[3]

Des découvertes archéologiques attestent d'une occupation romaine. En haut de la ville existait un édifice, vraisemblablement un temple, tel que les Romains avaient l'habitude d'en construire sur des hauteurs. À une époque inconnue, ce temple fut remplacé par l'église chrétienne. Vers le milieu du 6ème siècle, Euphrasius et Auxilius deux ermites, trouvent refuge dans une grotte et la transforment en chapelle. C'est à cet endroit même que se trouve aujourd'hui l'église de Decize placée sous le vocable de Saint-Aré qui fut évêque de Nevers de 549 à 558. Son corps fut inhumé dans la chapelle des ermites dédiée à Notre-Dame-de-la-Crotte. Cette chapelle, reconstruite au 10ème siècle est la crypte qui se trouve placée sous le chœur de l'église actuelle.

Ruines du château

Les fortifications

Après avoir été sous la domination des Évêques, Decize passe sous celle des comtes de Nevers. Au 10ème siècle ils font construire une forteresse, aujourd'hui en ruines, sur le rocher. C'est vers le 12ème siècle que Decize est entourée de fossés, puis fortifiée vers la fin de ce siècle. La porte du Marquis d'Ancre témoigne de cette époque. Une rue située en centre ville porte ce nom.
Decize doit son affranchissement vers 1226 à Mahaut de Courtenay, fille de Pierre de Courtenay et d'Agnès de Nevers.
L'affranchissement des vassaux eu pour conséquences l'établissement de la commune. Les premières franchises sont révélées par un acte datant de 1442.

La situation stratégique de Decize, dans une île rocheuse de la Loire, aux confins du Nivernais et du Bourbonnais, passage obligatoire pour plusieurs vieilles routes commerciales (Moulins-Auxerre et Autun-Bourges) a très tôt justifié la construction d'un château. Celui-ci surplombait le fleuve en amont.
La ville s'est développée en contrebas, protégée par trois enceintes successives de tours et de murailles.
La dernière enceinte, dont quelques tours subsistent, a été bâtie à la fin du 12ème siècle, sur l'ordre du comte Pierre de Courtenay.

Pendant longtemps, la ville est restée ceinturée de ces remparts. On y entrait par six portes :

- la Porte de Loire, ouvrant en face du Pont de Saint-Privé (en 1583, elle était en très mauvais état, elle a été détruite au siècle suivant) ;
- la Porte d'Allier, ou Porte du Marquis d'Ancre, ouvrant sur le pont de Crotte ;
- la Porte Rosière (ou des Rosiers) et la Poterne de la Croix-Voisin, ouvrant sur les friches sablonneuses des Halles ;
- la Porte de l'Abreuvoir, ouvrant sur un port et l'abreuvoir des chevaux (actuel Champ-de-Foire) ;
- la Porte Larnière ouvrant sur la Saulaie.

Les 16ème et 17ème siècles

Decize voit son développement s'accroître jusqu'à la fin du 16ème siècle, bien qu'elle ait eu à souffrir des attaques de pillards et de gens de guerre.
Plus grave encore, le 12 mai 1525, une bande de 3000 Italiens conduite par le comte de Bellejoyeuse qui se rend de Lyon en Picardie pour résister à une menace d'invasion des luthériens, demande asile aux échevins Guillaume Coquille (père de Guy Coquille) et Guillaume Coppin. Ceux-ci refusent sous le prétexte que la comtesse de Nevers, Marie d'Albret veuve de Charles de Clèves, a ordonné de ne laisser entrer aucuns gens de guerre sans son autorisation. Ils évoquent aussi le fait que Decize est une petite ville et qu'elle est pauvre. Ils ont surtout en mémoire le souvenir du passage de deux bandes dirigées, l'une par le capitaine Maulevrier (Manlévrier dans Les Annales de la ville de Decize par M. F. Tresvaux de Berteux), l'autre par le duc de Chiffort (Cliffort dans Les Annales de la ville de Decize par M. F. Tresvaux de Berteux) qui n'ont laissé derrière elles que misère et cruauté. Les échevins demandent que le comte de Bellejoyeuse diffère son entrée dans la ville, le temps d'obtenir les instructions de la comtesse de Nevers. Ils proposent aux soldats de leur donner des vivres pour se restaurer en dehors des murs de la ville. Malgré cela, les émissaires du comte ne veulent rien entendre et la bande approche. Jean-Pierre de la Boue, seigneur voisin qui connaît Bellejoyeuse pour l'avoir rencontré dans les guerres du Milanais, propose de le rencontrer et de lui faire part des demandes des habitants. L'entrevue échoue. Alors que le peuple est prêt à se défendre contre ces visiteurs de mauvaise augure, Guillaume Coquille, Jean-Pierre de la Boue et Antoine Germain lieutenant du bailly du château, tentent une dernière proposition. Ils offrent au comte 200 écus pour lui, des vivres pour ses soldats et un endroit pour loger tout ce petit monde aux environs de la ville. Hélas ! Toutes ses tentatives seront vaines. Les portes de la ville sont alors fermées. Les Decizois, mal armés et sans chef pour les commander, se heurtent aux Italiens beaucoup mieux équipés qui mettent le feu devant la porte du pont de Crotte. Rapidement, l'incendie fait rage. L'affrontement qui dure trois heures donne raison aux assiégeants. Ils franchissent les remparts, ravagent l'église Saint-Aré, dégradent les vases sacrés et les vêtements sacerdotaux, immolent l'archiprêtre Lyon-Sellier.

Vierge à l'Enfant 16ème siècle

Ils pillent la ville, massacrent un grand nombre de Decizois ou leur infligent les pires tortures pour les rançonner, violent les femmes. Bellejoyeuse, installé dans le couvent des sœurs de Sainte-Claire et protégeant quelques habitants du déchaînement de ses soldats, reste de marbre devant les plaintes des victimes arrivées tant bien que mal jusqu'à lui. La mise à sac de la ville durera deux jours. Bellejoyeuse, redevenu maître de ses troupes, reprend sa route vers la Picardie. Plus de 300 morts seront dénombrés ; des bœufs et des chevaux victimes des violents affrontements encombrent la ville.
Lors de l'enquête du lieutenant du bailliage, un curieux incident survient. Une foule venue nombreuse dans l'église Saint-Aré s'extasie face à la statue de la Vierge qui pleure des larmes de sang, là où l'archiprêtre Lyon-Sellier a été immolé.

La peste, qui fit d'importants ravages durant six mois, se déclare le 14 avril 1529.
Après toutes ces catastrophes, d'autres attendent les Decizois.
Pendant la nuit du 1er septembre 1559, un incendie se déclenche dans une maison de la ville. Le feu se propage rapidement aux maisons voisines et à la ville tout entière. La propagation du feu est facilitée car les constructions sont en bois et les rues étroites et sinueuses. 300 ou 400 habitations seront réduites en cendres en moins de cinq heures. Seules 25 resteront debout. Suite à ce violent incendie et aux graves conséquences qui s'ensuivirent, les Decizois demandèrent à être exemptés de tailles pendant 9 ans.
Le 27 septembre 1585 une crue survenue très rapidement cause des dégâts considérables dans tous les bas quartiers de la ville. Le matin du 27 septembre, la Loire était si basse qu'on en passait à pied sec le bras droit, qui sépare l'île du faubourg Saint-Privé. À midi, une crue se manifesta tout à coup et ses progrès furent si rapides qu'à minuit les eaux s'élevaient au niveau de l'autel de l'église de Saint-Privé et détruisaient l'escalier du clocher de cette église, tandis que du faubourg de Crotte, elles emportaient le pont et renversaient les maisons qui se trouvaient sur leur passage.

François de Bonnay sieur de Voumas est établi gouverneur du château par lettres-patentes de Charles II, duc de Nevers et de Mantoue du 6 novembre 1648, et par lettres-patentes de Louis XIV du 22 décembre de la même année. Il tient Decize en état de siège et oblige les habitants à surveiller nuit et jour les portes d'accès et les remparts. Il veut les clés de la ville et cherche à prendre possession de l'administration civile. Ses agissements mécontentent les échevins qui adressent une plainte au marquis de Saint-André Montbrun, gouverneur général de la province. Pour tenter d'apaiser les esprits, celui-ci décide que les clés de la ville seront conservées par les échevins à charge pour eux de les déposer chaque soir au château. La situation reste tendue.
En janvier 1650, Mazarin ordonne l'arrestation des princes de Condé et Conti et du duc de Longueville. Ils sont emprisonnés au château de Vincennes. Cet événement provoque le soulèvement de leurs partisans dans une France en pleine Fronde. La Bourgogne, le Limousin, l'Angoumois et le Périgord entrent en révolte. La princesse de Condé se réfugie dans le château-fort de Montrond en Berry. Decize devient pour le pouvoir royal un lieu important à protéger, c'est un endroit qui peut servir de communication entre les pays séparés par la Loire. En juin 1650 Louis XIV fait écrire aux échevins pour les informer qu'il donne l'ordre au marquis de Saint-André Montbrun, lieutenant général en Nivernais, de se rendre très rapidement à Decize pour organiser la bonne et suffisante garde des habitants et du château, et pour conserver la ville sous son obéissance. Celle-ci serait placée sous l'autorité du marquis et, en son absence, sous celle du gouverneur du château. Les Decizois renforcent leur milice et assurent immédiatement la garde de la ville et du château. La tension continue entre les échevins et le gouverneur. Anne d'Autriche, régente, fait écrire à Saint-André de Montbrun et lui demande de se rendre à Decize dès qu'il le peut et qu'après avoir rétabli l'intelligence entre le gouverneur et les habitants, vous fassiez en sorte que ceux-ci soient employés à la garde du château.

Roger de Bussy-Rabutin

La tentative de médiation échoue.
Le roi est informé des reproches faits par les échevins à François de Bonnay. Il est accusé d'avoir contrarié les citoyens, abandonné son poste, fait entrer des individus armés et sans scrupule dans le château qui auraient troublé le service de la milice bourgeoise. Devant l'échec de toutes les tentatives visant à ramener le calme, Louis XIV écrit aux échevins le 7 février 1652 pour leur demander de mettre hors du château François de Bonnay et la garnison qu'il a établie et de veiller à faire exécuter l'ordre donné au commissaire d'artillerie, de faire un inventaire de toutes les armes et munitions qui se trouvent dans le château. Le château fortement armé jusqu'au milieu du XVIIe siècle fut dépouillé par Roger de Bussy-Rabutin d'une grande partie de son artillerie et de ses munitions pour servir le siège de Montrond.

À cette époque, Roger de Bussy-Rabutin qui s'est rallié au roi après avoir combattu activement pendant la Fronde, est gouverneur du Nivernais et du Donziais. En avril 1652, il s'adresse aux Decizois pour les encourager à être au service du roi et à la conservation de la ville. Il ordonne aux échevins de surveiller les Decizois, de les soumettre aux gardes de jour comme de nuit, de chasser de la ville ceux qui donneraient sujet de douter de leur fidélité pour le service du roi.

Mazarin se rend à Decize le 27 janvier 1660 suite à l'acquisition du duché de Nivernais. Il l'abandonne en 1661 au profit de son neveu Jules-Philippe Mazarini Mancini qui épousera, en 1670, Louise-Magdeleine de Damas, fille du marquis de Thianges.

Une partie des échevins est supprimée par une ordonnance du 17 décembre 1676. Le roi veut qu'il n'en reste que deux pour gérer les affaires de la ville, aidés par le procureur du droit commun. Puis, alors que les échevins sont élus tour à tour et d'année en année, le roi veut les nommer lui-même. Il va jusqu'à vouloir supprimer les élections dans le but de détruire libertés et anciens usages. Les Decizois se rebellent contre ces décisions. Plus d'une décennie plus tard, ils n'accepteront pas Jean-Baptiste Langlois, sieur de la Prévostière, nommé maire selon un édit royal d'août 1692 qui met en place maires et assesseurs dans certaines villes du royaume. Il est amené à se plaindre à l'intendant de Moulins des injures et de la mauvaise volonté des habitants.

Les 18ème et 19ème siècles

La ville de Decize use de la possibilité qui lui est offerte par les édits de mai 1761 et de novembre 1771 permettant de réunir les charges municipales, celles de maire, celles des deux échevins, des deux assesseurs, d'un procureur du roi, d'un greffier, d'un receveur et d'un contrôleur.
Le premier maire de Decize sera Guillaume Godard de la Motte en 1772 (en 1769 dans Les Annales de la ville de Decize par M. F. Tresvaux de Berteux).

Les ponts sur la Loire furent édifiés à une époque inconnue mais la situation de la ville de Decize laisse supposer qu'ils sont aussi anciens que la ville elle-même. On sait qu'ils existaient vers 1620.
Le pont de Crotte ou de Saint-Gilles construit initialement en pierre, rompu par la crue de 1585, est rétabli en 1716. À nouveau dévasté par l'inondation de 1790, il est remplacé par un pont en bois qui sera démoli en 1804 et enfin remplacé en 1831 par un pont suspendu qui sera lui-même remplacé par un nouveau pont en 1904.
Le grand pont de la Loire ou de Saint-Privé construit bien avant 1620, moitié en bois et moitié en pierre, est entièrement refait en 1775, ouvert à la circulation en 1777 et élargi en 1894.

L'ancien pont suspendu

En 1836 un barrage est construit sur la Loire pour permettre la jonction entre le Canal Latéral à la Loire et le Canal du Nivernais.
Un avis favorable est donné à la pétition très argumentée que les Decizois ont adressé à l'Assemblée nationale en 1789. La ville deviendra chef lieu d'un district administratif et siège de justice. À cette époque, Decize qui est notamment un entrepôt des vins du Beaujolais et du Mâconnais, compte :

trois fourneaux pour la fonte,
treize forges,
plusieurs carrières de plâtre,
deux mines de sablon pour le blanc des faïences,
d'importantes mines de charbon de terre,
deux manufactures de verre,
des commerces de bois et bestiaux.

Le district sera composé de six cantons : Decize, Béard, Anlezy, Cercy-la-Tour, La Nocle et Lucenay-les-Aix.

Au cours du 18ème siècle la ville de Decize fait venir un médecin et un chirurgien rémunérés chacun de 600 livres et établit deux sœurs grises[4] pour la distribution des médicaments aux indigents.

Développement industriel et ère moderne

L'activité industrielle florissante aux 19ème et 20ème siècles s'est considérablement réduite au fil du temps.

En 1836 un abattoir est construit au bord de l'Aron. Il fonctionnera pendant un siècle.
Joseph Boigues crée en 1897 l'usine de céramique (UCD) qui prend la place d'une tuilerie construite en 1825 par Jean Billot.
Une Société des Eaux de Saint-Aré est créée en 1913 pour exploiter la source située sur le domaine de l'Eau-Salée. L'eau de Saint-Aré est reconnue pour ses vertus laxatives, diurétiques et hypotensives. L'exploitation de cette source est abandonnée en 1970.
Colombes-Goodrich spécialisée dans la fabrication des produits caoutchoutés autres que les pneus, démarre le site de Decize en 1942 dans une usine de feutre créée en 1922 par un Américain du nom de Warburton. Des courroies y seront fabriquées. Cette usine prendra, par la suite, le nom de Kléber-Colombes, Kléber Industrie puis Anvis. Elle sera le principal employeur de la ville de Decize.
En 1945 l'usine aéronautique Voisin devenu SNECMA, s'installe faubourg Saint-Privé sur le site de la caserne. Ce site a hébergé une équipe d'ingénieurs et de techniciens allemands venue de BMW et des ouvriers Decizois. Cette équipe avait pour mission l'étude et la réalisation de prototypes[5]

Decize qui est également la ville natale de Maurice Genevoix est un des secteurs touristiques du Sud Nivernais.

A lire également

Sources

  • Histoire de Decize et de ses environs par Louis-Mathieu Poussereau.
  • La Nièvre à travers le passé par Amédée Julien.
  • Decize, rue par rue brochure Camosine n° 75.
  • Le Patrimoine des Communes de la Nièvre, Flohic Éditions.

Martine NOËL Août 2013 et Février 2014.

  1. Premier tableau, sources INSEE et Cassini - Second tableau, sources Archives de la Nièvre et Cassini.
  2. Magistrat unique que les notables et les Druides élisaient chaque année et qui avait le droit de vie et de mort sur tous les citoyens.
  3. Le siège de Gergovie est une des batailles principales de la Guerre des Gaules.
  4. Appelées ainsi à cause de la couleur de leur habit. Leurs activités portent sur la prise en charge des hôpitaux, les soins à domicile, la participation aux convois funéraires, l'accueil des mendiants et des pèlerins.
  5. Moteur de Mirage Atar créé par Hermann Oestrich (Groupe « O »). Son turboréacteur BMW 003 équipe en série le chasseur Heinkel 162 à la fin de la guerre 1939-1945. (L'Express, publication du 20 mai 1999).